Carnet
d’été.
La chaleur
tombe, écrasant nos moindres gestes.
L’ombre est
bienvenue.
Les T-shirts
collent à la peau.
Les mouches
se font reines des petites miettes.
On déserte
les chemins, poussiéreux de chaleur…direction les points d’eau,
à l’identique
des animaux sauvages dans leur savane…la chaleur nous rend elle notre
instinct ?
C’est l’été,
l’air ne frémit qu’au bord de nos lacs et rivière, on marche pieds nus, la peau
reprend sa place au soleil…et déclame de belles conjugaisons d’odeurs d’iode,
de sel, de transpiration…
L’été
restitue encore sa chaleur, même le soir tombé, et on attend la nuit pour faire
les grillades.
De ces étés,
nos pages vous livrent les éclaboussures et couleurs de nos baignades
partagées
avec nos léonbergs.
Nous
garderons secrets les siestes à l’ombre, balades nocturnes sous la lune,
éclats de
rire sous l’orage bienfaisant…
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